Du temps de nos ancêtres préhistoriques, il n’y avait que deux moyens de régler un conflit : fuir ou combattre. Il y avait toujours un gagnant et un perdant.

Une fois n’est pas coutume, mon article ne traitera pas d’un sujet en particulier. J’aimerais simplement saisir l’opportunité de cette nouvelle année pour vous présenter mes meilleurs vœux.

Nous travaillons à un rythme de plus en plus soutenu, et sous une pression toujours plus élevée, avec une connectivité quasi permanente du fait de la multiplication d’outils et d’applications de communication.

Dans un article précédent, je vous ai expliqué le cadre dans lequel opère l’ombud. À présent, nous allons voir comment se déroule un entretien, et ce que l’on peut faire ensemble.

Le déferlement de réactions et de témoignages suite à l’affaire Weinstein m’a fait réfléchir à une réalité parfois camouflée : le harcèlement sexuel.

Comme mes prédécesseurs Vincent et Sudeshna, à qui je rends hommage, je vais partager avec vous mes réflexions dans le Coin de l’Ombud. Dans ce premier article, je vous propose de faire ma connaissance. Je vous rappellerai aussi dans quel cadre opère l’ombud.

« Rien ne change ». Voilà ce que l'on entend souvent dans le Bureau de l'ombud.

Lors de situations conflictuelles, nous avons tendance à vouloir avoir le dernier mot pour prouver que nous avons raison. En fait, cette attitude s’avère souvent la mauvaise, que l'on soit face à son interlocuteur ou que l'on communique avec lui par courriel.

La question des « avantages injustifiés », autrement dit de la relative facilité avec laquelle les portes s'ouvrent pour certaines personnes simplement parce qu'elles appartiennent à un groupe dominant (souvent majoritaire), a suscité beaucoup d'intérêt lors des récents ateliers sur la

Les conflits au travail sont inévitables, mais ceux qui se produisent au CERN sont-ils différents de ceux des autres organisations ?