Les conflits au travail sont inévitables, mais ceux qui se produisent au CERN sont-ils différents de ceux des autres organisations ? Des problèmes interpersonnels surgissent lorsque des personnes ne partagent pas les mêmes objectifs ou valeurs, ou ne perçoivent pas les choses de la même façon.

Cela vous est peut-être déjà arrivé : vous écoutez quelqu'un parler et, même si ce qui est dit a l’air raisonnable, vous avez un sentiment de malaise.

Traditionnellement, le début d’une nouvelle année est le moment pour chacun et chacune d’entre nous de faire le point sur ce qui a été accompli par le passé et de se fixer des objectifs pour l’avenir.

Les rumeurs peuvent avoir une grande toxicité, liée à leur faculté de propagation. Il ne s’agit pas ici des conversations anodines que nous avons tous les jours, mais de propos tendancieux et désobligeants, dégageant une charge émotionnelle négative, qui insidieusement attaquent des personnes.

La campagne en cours « Respect@CERN » a été remise à l’honneur mardi 5 mai avec un forum de discussion mené par Alan Richter, expert consultant en éthique et diversité.

Lancée dans un précédent numéro du Bulletin, la campagne Respect@CERN a suscité des réactions riches et variées.

Depuis 2010, le CERN est membre de l’association genevoise « Le respect, ça change la vie ».

La confiance est un ingrédient essentiel dans toute relation de travail. Lorsque la confiance est brisée, des conflits peuvent survenir et l’harmonie au sein d’une équipe peut s’en ressentir. L’Ombud est là pour vous aider à trouver une solution avant d’atteindre le point de non-retour.

En 2011, plusieurs chroniques ont été publiées dans le Canadian HR Reporter par Sharone Bar-David sur le sujet de l’incivilité sur le lieu de travail – que je vous engage à parcourir ici.